Dans le cadre du projet de réalisation d’un grand stade pour son club de foot, la ville du Havre a choisi le site de Soquence, territoire ferroviaire libérable à terme.
Le projet développe un plan paysager à l’échelle du territoire, qui permette à ce site d’évoluer à long terme vers une occupation urbaine, prenant en compte que par cet aménagement il deviendra le seuil d’entrée en ville du Havre et qu’il se valorisera des lors que le stade sera construit.
Un programme tertiaire ou d’activité de 60000m² est proposé en complément, qui sera facilité par la mutualisation des stationnements et d’autres complémentarités. Le stade, peu facteur de vie quotidiennement, est positionné en arrière d’une bande active urbaine qui permet par une morphologie discontinue de laisser des vues sur celui-ci et sa valeur représentative. Une stratégie paysagère adopte l’idée de stationnements enherbés sur un système de rétention d’eau qui participe à une logique environnementale. Un processus permet d’envisager une densification progressive par doublement des plateaux de stationnements, ou diminution progressive selon progression des transports alternatifs. Le projet intégré la valorisation d’une hypothèse de tram-train qui pourrait desservir le site grâce aux infrastructures déjà existantes.
Dans le cadre du projet de réalisation d’un grand stade pour son club de foot, la ville du Havre a choisi le site de Soquence, territoire ferroviaire libérable à terme.
Le projet développe un plan paysager à l’échelle du territoire, qui permette à ce site d’évoluer à long terme vers une occupation urbaine, prenant en compte que par cet aménagement il deviendra le seuil d’entrée en ville du Havre et qu’il se valorisera des lors que le stade sera construit.
Un programme tertiaire ou d’activité de 60000m² est proposé en complément, qui sera facilité par la mutualisation des stationnements et d’autres complémentarités. Le stade, peu facteur de vie quotidiennement, est positionné en arrière d’une bande active urbaine qui permet par une morphologie discontinue de laisser des vues sur celui-ci et sa valeur représentative. Une stratégie paysagère adopte l’idée de stationnements enherbés sur un système de rétention d’eau qui participe à une logique environnementale. Un processus permet d’envisager une densification progressive par doublement des plateaux de stationnements, ou diminution progressive selon progression des transports alternatifs. Le projet intégré la valorisation d’une hypothèse de tram-train qui pourrait desservir le site grâce aux infrastructures déjà existantes.
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Le projet développe un plan paysager à l’échelle du territoire, qui permette à ce site d’évoluer à long terme vers une occupation urbaine, prenant en compte que par cet aménagement il deviendra le seuil d’entrée en ville du Havre et qu’il se valorisera des lors que le stade sera construit.
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Un programme tertiaire ou d’activité de 60000m² est proposé en complément, qui sera facilité par la mutualisation des stationnements et d’autres complémentarités. Le stade, peu facteur de vie quotidiennement, est positionné en arrière d’une bande active urbaine qui permet par une morphologie discontinue de laisser des vues sur celui-ci et sa valeur représentative. Une stratégie paysagère adopte l’idée de stationnements enherbés sur un système de rétention d’eau qui participe à une logique environnementale. Un processus permet d’envisager une densification progressive par doublement des plateaux de stationnements, ou diminution progressive selon progression des transports alternatifs. Le projet intégré la valorisation d’une hypothèse de tram-train qui pourrait desservir le site grâce aux infrastructures déjà existantes.